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FETISH WEEK EDITION 2024 Billetterie officiellement ouverte ! | FETISH WEEK EDITION 2024 Billetterie officiellement ouverte ! |
fouets
La lanière de cuir fend l’air, le sifflement annonce la morsure. Un gémissement ou un cri s’élève, mêlé de plaisir et de douleur. Vous venez de donner, ou de recevoir, votre premier coup de fouet. Bienvenue dans l’univers de la punition SM et de ses délicieuses sensations… Ici, on ne parle plus de douceur. Ici, s'entrouvre le domaine de la punition fétichiste. Ici, vous découvrirez vos plus intenses sensations…
La fessée, jeux d'impact
Le spanking érotique : un claquement de plaisir inégaléFouet Single Tail, Bull Whip Fouet raffiné professionnel Cible très précisément les zones Manche rigide Made in Allemagne Tressé en cuir de vache.
Le bdsm, on ne vous l’apprend pas, repose sur une relation de confiance, basée sur la soumission d’un partenaire et la domination par l’autre. La pratique de ce type de relations a aussi pour ambition de créer un espace sans danger pour laisser la possibilité aux adeptes d’y vivre leur sexualité sans danger et sans jugement. À chacun d’établir son propre protocole, il n’y a pas de règles, sauf le consentement et le respect de la sécurité des protagonistes. Et une fois ces bases établies, au travers d'une solide communication, alors la liberté est totale pour paver son chemin vers la jouissance…
L’un de ces chemins peut, lorsque c’est souhaité par les deux partenaires, passer par l’administration de punitions corporelles plus ou moins douloureuses, et toujours dans la recherche du plaisir. La fessée, jeu érotique de punition par excellence, rassemble ainsi de plus en plus d’adeptes. Là encore, le degré de douleur procuré et subi doit faire l’objet d’une concertation préalable. Pas d’improvisation en roue libre, car, une fois la confiance du partenaire soumis écornée, le dominant ne sera plus à ses yeux digne… de le punir.
Si la punition SM fait partie de vos fantasmes fétichistes, peut-être, serez-vous impatients d'en tester des options plus extrêmes. Soyez prudent, car certaines d’entre elles peuvent, sans maîtrise ni expérience, être source de blessures. C’est pourquoi nous ne vous recommandons pas l’usage d’un fouet pour commencer. Familiarisez-vous d’abord avec la gamme à votre disposition sur notre boutique bdsm, où vous retrouverez de nombreux modèles de cravaches, paddles, martinets, badines, cannes...
Apprivoisez vos sensations, habituez-vous à la douleur si c’est votre recherche, repoussez doucement vos limites sans vous forcer. Toutes les parties du corps sollicitées seront source d’excitation : les fesses bien sûr, mais n’hésitez pas aussi à jouer avec le sexe, les seins, le ventre, la plante des pieds, l’intérieur des cuisses, le dos, le long de la colonne…
Il serait difficile, voire aléatoire de prétendre en comprendre les rouages psychologiques et généraliser les raisons de ce goût pour la punition. Cela dépend du parcours et des attentes de chacun. Cependant, il est possible d’y entrevoir, dans le cas de la personne soumise, une volonté de transgression, suivie d'une rassurante sanction, encadrée dans une relation de respect et de confiance. Autrement dit, la désobéissance et la provocation sont permises, et, en toute décomplexions, en attendre la punition associée sera parfaitement assumé.
On peut également y déceler une vertu déculpabilisante et lâcher-prise : le ou la soumis(e) se laisse aller volontiers et le contrôle est remis dans les mains de l’autre.
Au-delà de l’impact psychologique, la pratique se veut aussi éminemment jouissive. La stimulation de la zone des fesses provoque un afflux de sang vers les parties génitales, ce qui fait immédiatement bondir l’excitation.
Du côté du partenaire dominant, le plaisir viendra du pouvoir absolu qu'il détient. Fouet fermement en main, devant un partenaire entravé et tout entier livré à sa merci, de sa toute-puissance naît sa jouissance. Entendre le fouet claquer, voir progressivement se marquer la peau, entendre les gémissements, voire les cris, tenir dans votre paume l’objet de pouvoir, tout concourt à solliciter vos sens et votre nature dominatrice.
Vous détenez le contrôle sur le corps de votre partenaire, à vous l’autorité de le punir et le mener à un plaisir orgasmique… Pourquoi ne pas conjuguer l'effet d'un sextoy ou d'un plug ? De multiples possibilités parmi les accessoires bdsm de notre boutique SM s'offrent à vous... Enjoy !
Que le fantasme punitif concerne la fessée ou sa grande sœur, la flagellation, il existe de nombreux accessoires bdsm et tout autant de scénarios possibles pour sa réalisation. Martinets en cuir, cravaches, paddles, badines en rotin, tapettes, cannes, fouets… Tous les matériaux et formes imaginables. Plumes, cuir, daim, pvc, silicone, métal, ils permettent tous de jouer avec l’intensité, l’alternance, et la graduation de la douleur, mais aussi de rester sur un registre plus doux et sensuel.
Pimentez vos ébats en variant les matériaux, choisissez les couleurs et associez les à vos autres accessoires, jouez les metteurs en scène, faites de cette séance un moment inoubliable !
De la fessée, passons maintenant à la flagellation.
Il n’est plus vraiment question de douceur, ici. Dès lors qu’on utilise un fouet, c’est qu’on a franchi un palier dans l’acceptation de la souffrance. La démarche comprend une dimension presque spirituelle, où la douleur subie de façon répétée peut amener à un état de transe, au cours duquel l’esprit se détache du corps et s’évade. Une semi-hypnose où la vigilance de votre partenaire se révèle essentielle, car vous ne serez peut-être plus en mesure de parler ou de ressentir de façon consciente. Ce sera donc à elle, ou à lui, de mettre un terme à la séance afin de préserver votre sécurité.
Gardez à l’esprit qu’un fouet n’est pas un outil anodin. Déterminez à l’avance quel sera votre safeword ou votre geste de secours.
Vous allez avoir la responsabilité de vos gestes. Localisez vos coups sur la zone des fesses, ventre, bas du dos, parties génitales, avec prudence sur ces dernières. Variez les mouvements ainsi que leur intensité. N’essayez jamais sur le visage, la tête, les bras ou les jambes. Nous vous conseillons de pratiquer sans votre partenaire pour vous exercer.
Attention cependant aux blessures que vous pourriez vous infliger !
Vous devrez vous montrer très attentif et soucieux des réactions de la personne qui se trouve au bout de votre fouet. Qu'exprime-t-elle ? Semble-t-elle être à l’aise, inquiète, décelez-vous une prise de plaisir ou seulement la lutte contre la souffrance ? N’hésitez pas à tout arrêter dès que vous avez un doute et assurez-vous de ses sensations.
Vous avez probablement l’envie de vous dépasser, d’encaisser jusqu’à rencontrer vos limites. Ne soyez pas trop gourmand lors des premières séances et n’allez pas trop loin. Laissez la douleur venir, mais assurez-vous d’y associer du plaisir… Vous allez peut-être, au cours des sessions, sentir votre esprit lâcher prise lorsque la douleur prendra des proportions importantes.
C’est précisément ce point que de nombreux adeptes cherchent à atteindre. Laissez aller sans crainte l’état de relaxation dans lequel votre mental vous plonge. Profitez, votre partenaire veille.
Ces fouets sont non seulement des accessoires bdsm, mais aussi, de par leur conception, presque des objets d’art. On vous inviterait presque à en posséder un juste pour sa beauté !
Un fouet singletail, contrairement à un martinet, ne possède qu’une seule lanière. Elle est tressée par de multiples brins de cuir, et plus il y a de brins, plus le fouet est vif et précis.
Il possède aussi une poignée, en bois, ou en cuir et intégrée au corps. Celui-ci peut être soit en cuir, soit composé d’une poche remplie de diverses matières. Vient ensuite la queue, ou le tombant, lanière unique constituant la partie la plus souple. Puis le cracker, petit plumeau qui lorsqu’il fend l’air, produit ce petit craquement si caractéristique du bruit du fouet.
On distingue plusieurs catégories :
Bullwhip, shockwhip, fouets de travail, très longs, à utiliser plutôt en extérieur, à manier avec grande précaution.
Snakewhip et signalwhip, plus courts et plus précis, couramment utilisés en bdsm.
Sjambock et quirt (dog quirt), très courts et maniables, mais redoutables.
Quel que soit le modèle choisi, nous vous encourageons vivement à pratiquer, à vous exercer à « blanc » avant de le faire sur une vraie personne. Devenez un non seulement un maître SM… Mais aussi un expert.
S’il est un contexte où ce principe se révèle indispensable, c’est bien après une séance où la douleur a été particulièrement intense.
L’aftercare est à part entière intégré à une démarche bdsm, et indissociable de la relation entre les partenaires SM. La seule administration de la douleur sans la tendresse et l’attention consécutives n’aurait pas de sens et laisserait la personne soumise dans le désarroi. La confiance et donc la relation SM risqueraient alors d’être remises en question…
C’est pourquoi nous vous conseillons d’y apporter le plus grand soin. Tendresse, massages, soin des petites plaies le cas échéant, car après une séance de fouet, quelques saignements ne sont pas à exclure. Douceur et bienveillance sont indispensables pour ramener votre partenaire à un apaisement bienvenu après des sensations aussi intenses. C’est un instant de partage tout aussi important que la séance elle-même, car elle renforce la confiance et l’attachement. Ne lésinez pas : bougies, musique douce, crèmes, caresses... Ce doit être aussi doux que cela a été violent.
Vous trouverez dans notre boutique bdsm, la gamme d'accessoires bdsm dédiée à votre bien-être.
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