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Préservatifs
Les préservatifs : pour le plaisir, prévenir et protéger.
Le préservatif est un fourreau souple en latex destiné à se protéger. Comme tout contraceptif, il est un peu contraignant : c’est pourquoi il se décline pour offrir diverses protections et sensations.
Faites vous plaisir tout en vous protégeantPréservatifs à paroi ultra fine Ne contiennent pas de latex Recouvert d'un revêtement humide et d'un réservoir
Faites vous plaisir tout en vous protégeantPréservatif fin Extrêmement lubrifier A base de silicone Ne contient pas de latex
Protégez-vous lors de vos instants de plaisirs Boîte de 144 préservatifs Extrêmement résistants Effet de contact préservé
Protégez-vous lors de vos instants de plaisirs Boîte de 144 préservatifs Extrêmement résistants Effet de contact préservé
Protégez-vous pour vos instants de plaisirs Boîte de 144 préservatifs Très résistant Grande lubrification Effet de contact préservé
Conçu pour se protéger des grossesses non désirées et des maladies ou infections sexuellement transmissibles, le préservatif revêt plusieurs rôles indispensables à votre bien-être sexuel et à celui de votre partenaire.
Le préservatif est un étui en latex imperméable aux sécrétions vaginales, anales et péniennes, mais également aux divers fluides corporels comme le sang et le sperme. Il s’agit d’un moyen de contraception et actuellement le meilleur système pour se protéger des IST (Infections Sexuellement Transmissibles) véhiculées par les sécrétions péniennes et vaginales, ainsi que par le sperme. Il protège notamment contre l’hépatite B et le VIH, et permet aussi de prévenir les grossesses.
En revanche, même s’il est un atout pour l’hygiène, il faut savoir qu’il ne permet pas de se protéger des infections sexuellement transmissibles par le contact avec les muqueuses. C’est d’ailleurs aussi le cas pour l’herpès génital puisque le contact suffit pour contaminer. De plus, il n’offre qu’une faible protection contre la syphilis (à hauteur de 30% environ) et le papillomavirus humain (PVH). Mais il reste un allié fiable, surtout si vous pratiquez le libertinage !
Tout le monde n’a pas eu la chance d’avoir des cours d’éducation sexuelle, et certains sujets comme la sodomie ne sont pas toujours abordés. Pourtant, le préservatif est essentiel pour l’hygiène, et sa bonne utilisation indispensable pour des rapports de confiance.
Un rappel de l’usage ne fait de mal à personne. Lorsque votre sexe est en érection, déchirez le sachet précautionneusement, sans utiliser les dents ou les ongles afin de ne pas abimer le préservatif. Posez ce dernier sur le gland, bord enroulé vers l’extérieur, pour le dérouler dessus. Pincez le réservoir pour vider l’air et continuez de dérouler jusqu’à la base. Si vous souhaitez passer de la zone anale à la zone vaginale, changez-le. Ne réutilisez jamais une capote usagée : privilégiez les grandes boîtes si votre activité est intense. Même s’il n’y a pas d’éjaculation à la fin du rapport, retirez-la hors de votre partenaire et faites un nœud avant de la jeter.
Vous pouvez utiliser du lubrifiant sur la verge et sur le préservatif pour votre confort et celui de votre partenaire. N’attendez pas de perdre votre érection avant de retirer la capote car elle risquerait de rester dans son orifice. En cas de doute, il vaut mieux en utiliser une.
L’utilisation de jouets sexuels n’empêche pas la transmission de maladies vénériennes, et c’est souvent recommandé pour le sexe anal. Que ce soit pour jouer avec des godes, un harnais gode ou l’utilisation d’un gode ceinture, dérouler un préservatif dessus permet aussi de garantir une bonne hygiène de vos objets. De la même manière qu’avec un pénis dénudé, la capote est un bon moyen de pouvoir passer de la pratique anale à la pratique vaginale sans risquer la moindre infection. Il vous suffit de le changer entre deux pénétrations pour s’assurer qu’aucune bactérie n’est transmise du rectum au vagin.
Quant à l’utilisation d’un éventuel cockring, le port d’une capote ne gêne en rien puisqu’il suffit de positionner le sextoy par-dessus ou bien à la base.
Les préservatifs sont déjà lubrifiés à l’extérieur pour rendre la pénétration plus facile et permettre au latex de glisser sur la peau et les muqueuses. Il n’est pas obligatoire d’en ajouter mais il peut être plus agréable d’en mettre un peu sur le pénis avant d’enfiler le contraceptif pour faciliter le déroulement. Il est aussi recommandé d’ajouter généreusement du lubrifiant sur le préservatif déjà mis en place dans l’optique d’une sodomie ; le plaisir anal ne doit pas être dans la douleur, alors l’utilisation de poppers et de lubrifiant est la bienvenue. D’autant plus que l’anus, contrairement au vagin, n’est pas capable de se lubrifier tout seul
Aussi, dans le cas où votre partenaire souffre de sécheresse vaginale, le lubrifiant du préservatif ne suffit pas. Ainsi, n’hésitez pas à en ajouter sur toute la longueur de la verge et le gland, pour le bien-être intime de la personne qui partage votre lit. Vous avez aussi la possibilité de regarder du côté des huiles de massage à base d’eau, compatibles avec le latex et les muqueuses, pour profiter de délicieux massages péniens et d’une pénétration bien lubrifiée.
Si vous avez déjà vu un préservatif gonflé en démonstration d’un cours d’éducation sexuelle, alors vous savez qu’il existe une taille standard qui s’adapte en moyenne à tous les pénis. Toutefois, il y a aussi de nombreux gabarits dans la nature. Et surtout, une taille qui n’est pas adaptée peut générer de l’inconfort voire des accidents. Pour le bien-être comme pour l’hygiène, connaître et choisir la bonne taille de préservatif rend tout de suite les moments sensuels plus plaisants.
Même s’il peut être tentant de prendre la taille au-dessus en pharmacie pour impressionner, le choix de la taille adéquate est vraiment important pour assurer votre bien-être et un bon maintien. Comme le dit l’adage : « ce n’est pas la taille qui compte, mais comment on s’en sert ». Et rien n’est plus vrai que cela, puisqu’il existe autant de pénis différents que d’individus mais aucun préservatif ne peut être fabriqué sur-mesure. De ce fait, il est important de connaître ses mesures, un peu comme pour l’achat de chaussures : si le contraceptif est trop petit, vous n’allez pas pouvoir le dérouler jusqu’au bout et compromettre son efficacité. S’il est trop grand, il risque de glisser pendant le rapport. C’est la même chose pour une capote trop large, puisqu’elle risque même de rester dans l’orifice de votre partenaire et il est peu probable que vous arriviez à l’enlever par vous-même, sans intervention médicale. Et si elle est trop étroite, vous allez simplement être mal à l’aise. Dans tous les cas, la mauvaise taille génère un inconfort qui a souvent des conséquences sur l’érection et la protection.
Les tailles sont parfois indiquées en largeur nominale. Pour ceux qui connaissent la largeur nominale idéale adaptée à leur pénis, il s’agit d’une information pratique lorsque l’on cherche à tester de nouveaux modèles, voire une nouvelle marque. Sa mesure se fait d’un bord à l’autre, lorsque la capote n’est pas encore déroulée et aplatie. En soi, il s’agit du diamètre de la bague d’un préservatif. Un modèle classique possède une largeur nominale allant de 52 à 54 mm, tandis que les XL mesurent au moins 56 mm. Des modèles encore plus grands peuvent présenter une largeur nominale de 60 mm : ils conviennent aux très grandes tailles.
Pour cela, rien de plus simple : il suffit de mesurer son pénis en érection. Avec un mètre ruban idéalement, sinon une languette en papier et un crayon. Mesurez d’abord la longueur en partant de la base jusqu’au gland, puis la circonférence en prenant la mesure autour de la verge, au point le plus fort, et non d’après le gland. À savoir que la circonférence est la taille la plus importante à connaître : c’est la taille déterminante d’un préservatif, qui est rarement calculé en fonction de la longueur. La moyenne française étant de 4 à 5,5 cm de diamètre (soit la mesure dans sa largeur), à vous de voir dans quelle tranche vous vous situez.
À titre d’exemple, une circonférence de 6 cm (soit la taille mesurée en faisant le tour comme une bague) couplée à une longueur de 14 cm reviennent à une taille XS. Ce qui, en tableau, ressemblerait à ceci :
Une circonférence de 6 cm et une longueur de 14 cm constituent une taille S
Une circonférence de 10 cm et une longueur de 12 cm constituent une taille S
Une circonférence de 12 cm et une longueur de 14 cm constituent une taille M
Une circonférence de 13 cm et une longueur de 14 cm constituent une taille XL
Une circonférence de 15 cm et une longueur de 20 cm constituent une taille XXL.
Du préservatif standard au modèle innovant, la capote se pare de tout un éventail de choix afin que chacun puisse trouver fourreau à son épée. Pour découvrir de nouvelles sensations, varier les plaisirs, s’assurer confort et bien-être ou simplement éviter la routine, le choix de la capote dépend de vos besoins mais aussi de vos goûts.
Pour lutter contre la monotonie des préservatifs, certains proposent divers effets : ils peuvent être chauffants pour accélérer l’éjaculation, ou proposer l’alternative inverse avec une base plus serrée pour la retarder. Vous pouvez d’ailleurs les coupler à des stimulants pour faire durer le plaisir encore plus longtemps !
Certains revêtent des picots ou des alvéoles, d’autres sont nervurés pour décupler les sensations ressenties. Il existe aussi des variations de couleurs comme les capotes noires, idéales pour les soirées BDSM et fetish. D’autres encore sont fluorescentes, pour rendre n’importe quel moment érotique plus amusant. Enfin, il existe des préservatifs parfumés ou dotés d’un goût spécifique pour le sexe oral ou les personnes indisposées par l’odeur du latex.
L’épaisseur d’un préservatif, c’est d’abord une question de sécurité, mais aussi de bien-être. Certains se sentent rassurés à l’idée que le moyen de contraception soit épais, quand d’autres ne supportent pas d’avoir quelque chose autour du sexe. D’ailleurs, de nombreux hommes n’arrivent plus à être en érection dès qu’il s’agit de dérouler un morceau de plastique sur le sexe. C’est pour cela que des modèles extrêmement fins ont fait leur apparition, pour un ressenti peau nue et des sensations décuplées. Par exemple, parmi ceux que nous proposons, certains affichent une épaisseur de 0,045 mm, soit 45 micromètres : ils font partie des plus fins, même si le record est de 15 micromètres. Un préservatif classique propose une épaisseur d’au moins 0,060 mm, soit 60 à 80 micromètres.
Notez cependant que l’épaisseur ne remet pas en cause la résistance : les plus fins sont aussi robustes que les standards. Mais puisque le risque zéro n’existe pas, il est conseillé de choisir une protection épaisse pour la sodomie voire toute pratique hard, notamment pour l’hygiène.
Environ 10% de la population est allergique au latex, et l’effet se ressent aussi bien par le porteur que la personne pénétrée. Les démangeaisons, les rougeurs et les sensations de brûlures sont les premiers signes d’une allergie au latex. Si cela arrive, retirez la protection et nettoyez à l’eau et au savon les parties qui ont été en contact avec. Heureusement, il existe une alternative : les préservatifs en polyisoprène.
S’il existe des représentations de fourreaux péniens sur des fresques d’Égypte Antique, le moyen de contraception semble dater de l’époque romaine. Les vessies d’animaux, imperméables, servaient alors à se protéger. En Asie, les Chinois utilisaient le papier de soie enduit d’huile tandis que les Japonais, plus créatifs, fabriquaient des fourreaux davantage destinés au plaisir. Toutefois, les origines du contraceptif en tant que tel sont assez floues et les théories sont nombreuses. Lorsque le terme de préservatif apparaît pour la première fois dans la littérature, c’est pour lutter contre les maladies sexuellement transmissibles, mais il est aussi probable qu’il ait été inventé pour lutter contre les enfants illégitimes de la royauté anglaise. Dans tous les cas, les premiers contraceptifs en caoutchouc naturel apparaissent en 1855. Le latex synthétique tel qu’on le connaît aujourd’hui n’arrive que dans les années 1930. Si l’usage est encore rare, c’est parce qu’il faut attendre l’épidémie du sida pour qu’on en fasse enfin la publicité grâce aux campagnes de prévention.
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